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Comment tout a commencé?

György RADECZKI le maire précédent Perkáta (photo: György Vigh)

György RADECZKI le maire précédent

Mesdames et Messieurs,

Bienvenu et je vous souhaite une bonne soirée. Ça fait déjà 10 ans que j'ai reçu une lettre d'invitation pour un événement communautaire de Perkáta, donc premièrement, je veux bien remercier l'invitation. Vous pouvez penser maintenant que ce n'est pas vrai, parce que j'étais en France il y a 5 ans quand nous avons fêté le 20e anniversaire de notre amitié. Vous le savez bien, j'y étais. J'étais là, mais c'étaient nos amis français qui m'ont invité. J'étais présent aussi à la cérémonie d'ouverture de l'exposition chinoise. Oui, j'étais là-bas aussi, mais dans ce cas c'était nos amis chinois qui m'ont invité. C'est à cause de leur invitation que j'ai assisté à cet événement. Je n'ai reçu aucune sorte d'invitation des responsables des institutions locales à ses événements.

Et pour ce soir, j'ai reçu aussi une tâche à faire. C'était une demande, de faire un résumé d'une façon véridique des 18 premières années de notre amitié. De parler de ces 18 ans, oú je n'étais pas seulement votre ami, mais j'avais aussi le rôle « le maire de Perkáta » dans cette amitié.

De 1988 à 1991 c'était la période de familiarisation et des nouvelles rencontres. C'est cette période qui était la plus dure, car on avait pas mal des difficultés que nous avons dû résoudre. Dans cette régime, qui régnait dans cette période, pour faire des contacts pareils avec des pays, villes étrangers, il fallait posséder de nombreuses autorisations. Quand même, quand le maire de Saint-Maximin m'a demandé de faire le contact officiel, je n'hésitais pas. Malheureusement, on n'a plus la lettre de Ministère des Affaires Étrangères, dans laquelle on a refusé nos plans, mais ça s'est passé comme ça. C'est pour ça que j'ai fait une demande au Conseil avec le soutien du Comité exécutif. à la réunion du Conseil en 1990 c'était une grande surprise que le député parlementaire de la région était présent aussi (je mentionne entre parenthèse qu'il voulait représenter le parlement...). Il a dit que le Conseil était illégitime, et a demandé les personnes présentes, de ne pas faire de vote de deux sujets.

L'une était l'autorisation d'entrer en contact avec les français, l'autre était le lancement de l'investissement de gaz. On n'a pas décidé d'une manière positive de ces deux questions.

En septembre 1990 le nouveau Conseil Municipal a indiqué, que faire le contact officiel avec les français n'était plus une question, mais un devoir. Dans cette période, nous avons déjà organisé une rencontre aller-retour. En 1991 nous avons officialisé notre amitié.

Le document signé a précisé les tâches pour 10 ans. On a déterminé notre objectif principal : c'était que les gens de tout âge se sentent concernés dans cette amitié. Le premier à faire, c'était la création des relations familiales. Pendant ce temps, il y avait à peu près 100 familles à Perkáta, qui étaient occupées de rencontrer nos amis français. Ces familles n'étaient pas mes proches.

Bien sûr il y avait des gens qui n' ont pas salué avec enthousiasme nos efforts. Par exemple un certain Monsieur, Zoli et son équipe a affirmé son opposition à ce contact.

Mais notre objectif était un noble objectif. D'une part, ici, à Perkáta c'était de connaître les français et leur vie, d'autre part de leur faire connaître notre vie de tous les jours et notre culture.

Nous avons organisé une exposition sur l'histoire de Perkáta. Nous avons arrangé des rencontres musicales, culturelles et des rencontres du sport. Nous avons préparé des colonies des langues pour les jeunes, et créé des événements pour les enfants venant d'une situation défavorisé.

Des amitiés familiales, des amours, des liens se sont formés, qui sont immuables.

En 2001 notre contrat de 10 ans a expiré, mais nous avons décidé ensemble, qu'on doit continuer cette relation amicale. Nous ne pouvons pas mettre fin à ces relations précieuses et honnêtes. Nous avons prolongé officiellement les documents expirés. Ensuite, notre objectif devenu d'engager les jeunes. Il faut que des nouveaux gens prennent la place de ceux, qui sont partis.

Bref, je peux dire que je pense maintenant aussi que c'était une bonne décision de prendre le contact et faire cette amitié. Malgré des nombreuses critiques, il a valu la peine de suivre nos idées et réaliser cette amitié précieuse entre les deux communautés.

Il n'est pas difficile de dire, que beaucoup d'entre les habitants de Perkáta, surtout les jeunes qui venait des familles défavorisés, n'auraient peut-être jamais eu la possibilité d'aller en France ou à Paris. Ils n'auraient pas fait connaissance de l'engagement des français pour l'Europe. C'était maintenant mon avis.

Ceux, qui ont participé ou ceux, qui ont fait quelque chose pour cette relation vont décider eux-même, si pour eux il valait le coup ou pas.

Les habitants suivants de Perkáta formeront une opinion de nous. Ils décideront si nous avons fait du bien ou pas. Je ne peux que renforcer: Je prends le concours.

Merci de votre attention!

György RADECZKI

Présenté à:
La Soirée de Beaujolais 2016 - Organisée par: Le Club Français Perkáta - Saint-Maximin, Perkáta, le 18 novembre 2016.

Photo: György Vigh


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